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Ce matin là, j'ai marché. J'ai respiré, j'ai humé les parfums de la rue, de la fin de l'été et de la bonne humeur ambiante. Depuis quelques semaines j'essaye de prendre pleinement conscience de ce qui m'entoure et de savourer ces petites choses de la vie. Non pas que j'ai oublié l'importance des petits moments mais j'en prends toujours de plus en plus conscience. Ces moments sont parfois partagés mais parfois je suis seule mais c'est solitude positive.

... de mon téléphone. 
Cela fait pas mal de temps que je regarde les réseaux sociaux et plus particulièrement Facebook d'un mauvais oeil. Aussi bien certains réseaux sont connus pour être particulièrement nocifs (comme twitter par exemple) aussi bien facebook peut paraître plus populaire, familial, ou amical il est d'autant plus pervers.

Oui, je sais, mes vacances sont terminées mais les vôtres commencent peut-être bientôt alors autant partager avec vous quelques uns de mes conseils. Je suis tout et son opposé, une hyperactive indécrottable capable de basculer dans l'oisiveté et la paresse la plus totale. Mais pour cela, j'ai besoin d'un "cadre" : les vacances !

Non, ce billet n'est pas dédié à une indécision quelconque d'aimer ou pas mais plutôt une fois n'est pas coutume un billet d'humeur. Après avoir écrit ce qui me faisait sourire il y a déjà un bon moment de ça, je me suis dit que ça serait amusant de partager avec vous ce que j'aime et ce que je n'aime pas ! Alors ? Vous êtes curieux ?

Si c'est le cas, lisez-moi 

J'ai tout donné ici, je donnerai tout toujours, enfin pour l'instant. Il m'arrive de douter de l'avenir mais je regarde toujours droit devant, j'avance.

Qui m'aurait dit il y a plus de douze ans lorsque j'ai commencé à écrire ici où cette aventure m'aurait menée ? Lorsque j'y pense des souvenirs se chamboulent dans ma tête. Je suis fière de ce chemin accompli sur ce blog, heureuse aussi. C'est ici qu'une partie de ma vie, que je partage avec vous au moins 3 fois par semaine, s'écrit. C'est ici que s'écrivent mes peurs, et où je m'amuse et me dévoile mais jamais totalement. 

Quelle drôle d’expression, comme si on pouvait pincer le cœur. Je me suis demandée si c’était pire de l’avoir en étau, je ne sais pas. J’ai parfois cette sensation de douleur au cœur, ce truc qui chavire mes sens, me fais me sentir triste avec une montée de vague à larmes l'âme… J’ai mal au cœur quand je lis en voiture, mais il n’est pas pincé à ce moment-là.

Petite j'écrivais.
J'écrivais des histoires de princesses avec des chevaliers fous et des dragons au tempérament de feu.
En grandissant, je n'ai jamais arrêté d'écrire, et pendant l'adolescence mes émotions passées par par ma plume et mes crayons de dessins. Le plus souvent mes croquis étaient encadrés de mots. 

Sunday Funday is back ! Vous ne croyez pas qu'on allait nous arrêter comme ça ! Pour comprendre le principe qui n'a ni queue ni tête c'est par ICI

Comme je l'avais annoncé cette semaine dans un article, une nouvelle rubrique du dimanche est née, sans contrainte et au fil de nos envies : Sunday Funday !

Aujourd'hui, tout le monde connait le mot Fake News ou Infox, nous savons aussi tous plus ou moins ce que cela signifie, mais les traquons-nous vraiment ? Pour ma part, je réfléchis à deux fois avant de publier ou partager une info sur les réseaux sociaux (ou même d'en parler de vive voix). 

Nous voulons tous être aimés. Bien sûr, nous le sommes, ou pas... J'ai longtemps essayé d'être aimée de tous et puis je me suis rendue compte que d'être acceptée et respectée de tous était une utopie. Alors, je me suis pris des claques, des coups de poignard même, j'ai découvert la médisance, la nuisance, ces toxiques qui manipulent les mots là où ça fait mal. J'ai appris le venin de ceux qui critiquent, j'ai aussi grandi de cela et j'ai compris que je ne pourrai jamais être aimée de tous.

Dites-moi que je ne suis pas la seule dans la salle ?

Se poser là et écrire. 

C'est mon quotidien, ma vie. 

Toute petite j'ai écrit. Des mots doux à maman d'abord et à 8 ans j'écrivais des histoires. Des histoires de Princesses, d'amour et de Prince. Il y avait toujours un château et beaucoup de bonheur à la fin.

Aujourd'hui, j'écris encore et je ne me lasse pas. 

"Vous êtes la seule personne que je connaisse qui blogue", je l'ai entendu très souvent, j'ai souvent eu même l'impression d'être une extraterrestre. Souvent les personnes un peu connectées lisent quelques blogs auxquels elles sont fidèles, et d'autres par hasard au fil d'une recherche google ou sur les conseils d'un ami. Les lecteurs, et c'est un fait avéré depuis environ deux ans, ne laissent plus de commentaires ou rarement, mais est-ce vraiment un problème ?

Cher Blogueur, 

Tu as été bouleversé par le classement de ton blog, ton audience et ta page Rank, mais tu ne le devrais pas. 

Pense à ton premier article sur ton blog, pourquoi as tu commencé à écrire ? Tu ne pensais pas à la concurrence, à être le meilleur ou la meilleure blogueuse de France, d’Europe ou du monde entier, voir même à créer un créer un site e-commerce ? 

Pourquoi as-tu commencé ce blog? 

Et si je m'arrêtais un peu, si tout d'un coup mon cerveau se mettait en mode pause et que je restais là quelques jours à ne rien faire, à regarder la mer, prendre un bon bouquin (que je ne chroniquerai pas),  porter un vieux t-shirt (dont je ne posterai pas le cliché dans mon flux instagram)... Je me pose souvent la question et puis je reviens et je recommence.

Je me suis levée ce matin reposée et fatiguée à la fois.

La vie d’aujourd’hui est faite de beaucoup de « E- » , chaque nouveau mot qui émerge du web a une probabilité certaine de commencer par « E » et qu'on prononcera bien entendu « i » comme par exemple sans doute le plus célèbre le « e-mail » ou bien le E-learning, ou encore le moins connu le « E-lobbying ». Mais qu'en est-il de l'e-reputation qui porte tellement bien son nom ? 

Qu'est ce qui vous fait sourire ?

Pour moi ce sont des petites choes de la vie, parfois des grandes, j'ai appris avec le temps à regarder, à sourire aux gens (même aux personnes qui me détestent ou me dénigrent, ce qui l'agace sans doute terriblement ).

Les semaines passent, filent, courent, les saisons défilent et le temps, ce foutu temps qui ne s'arrête plus et qui me met continuellement la pression !

Ceux qui me connaissent savent à quel point je cours continuellement après quelque chose, j'utilise chaque minute que m'offre mon existence. Je suis hyperactive, et l'idée même de me poser et de ne rien faire m'effraie. Alors oui, il m'arrive de me poser dans le canapé et de ne rien faire mais mon cerveau me rattrape très vite : un nouvel article à écrire sur le blog, une envie de lecture, une activité avec les enfants. Tiens ! Parlons-en des enfants ! Elles grandissent bien trop vite et bientôt je devrai rebaptiser ce blog et me transformer en blogueuse mode (ou pas)!